Premier jour et répartition des classes...

"Tu m'expliqueras tous ça plus tard ! D'abord arrête de jouer au chimpanzé sur son arbre ! Je vais finir par prendre racine moi !"

Héhé! Bingo ! C'était bien ma cousine ! Qui d'autre aurait pu me sortir une vanne comme ça ? Personne,sans doute... xD Je descendis alors de mon perchoir, et la saluai. Les élèves qui palaient autour de nous ne semblaient nous remarquer, malgré tout le bruit que j'avais fait!!^^ Encore heureux, je n'aime pas trop que les gens me remarquent ... paradoxal, non ?

- Nani ? Comment ça tu ne sais pas? Violette, ne me dis pas que tu as oublié ? -_-

Si j'avais à tout à lui réexpliquer, çe risquerait d'être long ... J'attendis, en espérant que "ça remonte au cerveau " xD

J'étais arrivé tôt ce matin. Un peu naîvement, j'avais retenue et je croyais en ce vieux proverbe de chez moi qui voulait que la ponctualité soit une chose rare. Mais a la vue de cette foule bien matinale, l'espoir d'être unique se perdit au fond de moi. Mais ce n'est pas grave. Même si ceux autour de moi sont ponctuels, ils ne seront jamais uniques. Le seul a l'être, c'est moi!

A force de penser, j'en ai perdu la notion de temps. Je pensais tant que je m'en suis perdu dans mes idées. Jusqu'au moment ou un cri percant retentit non loin de moi. Après un bref coup d'oeil, je me suis appercu que ce n'était q'une simple aggression. Une fille qui faisait mon age attaquait par derrierre un garcons. Elle lui avait sauté dessus. Il me vint a l'esprit une seine étrange au départ, mais en publique, ce n'était pas possible. Après cette faible distraction, je me remis dans le droit chemin. Je dirigea donc mon regard vers la tribune. C'est la qu'un discours devrait être pronnoncer plus tard. Mais je penses qu'il me faudrait encore attendre un peu avant d'écouter les imbécilitées d'un vieux galeux identique a tous les autres principals que l'on peut trouver sur terre. Ce que je méprise cette normalité dont ils font tous preuve ici. Pas un n'est digne de ce qui leur a été donné. Pas un sauf moi!

Plus tard, je vois arriver plusieurs personnes sur la tribune. Je repert au milieu d'eux une personne qui se tient bien droite. Il est habillé d'un costume qui le fait bien paraitre. Cette personne n'as pas l'air d'être un nesséciteux. Ses habits sont bien riches, et il a au doigt une chevalière qu'il a l'impression de vouloir mettre en valeur.

Il s'approche a ce moment la du pupitre. Je m'apperceois alors que c'est lui; Le principal de ce lycée. Il commence alors son discourt. Je sent qu'il va être bien long. Un être aussi unique que moi ne devrait pas avoir a ce soucier de toutes ces formalités. Je prends quand meme sur moi, et reste. J'assisterai a ce discourt, car pour être unique, il faut sortir des rangs de la normalité, et donc y commencer.

Derrière moi, a quelques mètres, j'entends alors une voie féminine m'insulter. Enfin, si cela pouvait être appellé insulte. Je me retourne brusquement et me retrouve en face de la fille de tout a l'heure. Comment cet être aussi inférieur pouvait bien avoir l'audace de ne serais-ce que de me regarder? Je voyais dans son regard une sorte de mépris. Un être tel qu'elle ne mériterai même pas d'être ici. Il m'es avis qu'elle s'est en fait introduie ici. Il est impossible qu'un être tellement inférieur puisse être convié dans ce lycée. Cette audace qu'elle avait de m'adresser la parole... J'aurais dut la bruler vive pour ce qu'elle venait de faire, mais pas en publique. Elle mérite tellement peu mon attention... Je choisis donc de l'ignorer. C'est déja bien trop d'ailleurs. Je me retourne une dernière fois et lui lance un regard qui signifiait que si elle comptinuait, je la retrouverais, et lui ferais regretter, puis je revint a l'écoute du discourt de ce vieux qui nous servait de principal.

Il me jeta un regard qu'il espérait être terrifiant. Ouh, j'ai peur -_____- Il ne savait pas à qui il s'adressait... Il allait voir de quel bois je me chauffais (oh non, l'humour de Violette m'a déteint dessus ><) Voyant qu'il m'ignorait, je lui saisis l'épaule et le forçai à se retourner. Mine de rien, il y en avait de la force dans mes petits bras !

- Me traites pas comme ça, teme !! dis-je alors, d'un air noir. Non seulement tu me méprises, mais en plus tu te la joues supérieur avec tes grands airs... Tu me dégoûtes, sifflais-je.

Là, c'était la guerre.

Elle osait poser sa main sur moi. D'un coups, je la repousse alors. Lorsqu'elle perd un peu l'équilibre, je me sert de mon don unique pour enflammer un peu ses chaussures., puis époussette enfin les miens. Elle avait osé les sallir. Cet être inférieur devait être corrigée. Mais son sort attendra. Je ne souhaitais pas attirer encore plus l'attention. Cette vermine me dégoutait, mais je n'avais pas le temps de lui régler son compte. Discrèttement, je disparu et me diriges vers ma chambre. Je briserais ce sous-être une fois pour toute lorsque j'en aurais l'occasion.

Après quelques pas dans un couloir vide, quelqu'un me retourna. C'était le garcons qui c'était fait agresser. Derrière lui, j'appercois cette vermine de sous être qui avait osé me regarder avec mépris. J'étais prit d'une telle colère, d'une telle animosité. L'air du couloir se réchauffa. Il commenca a faire très chaud. Je ne me maitrisais plus

- Lache moi, sous-être, ou tu vas le regretter!

"C'en est trop. Je ne peux plus tenir. Ces vermines osent me regarder avec tant de mépris, et de plus me répondre."

Le feu commenca a apparaitre faiblement sur quelques murs. J'étais d'une humeur massacrante. Il suffirait d'un mot de plus, et je ne pourrais plus retenir mes pouvoirs. Je savais que si cela ce passait, j'allais avoir des problèmes. Dans le but d'éviter ca, Je me retourne et commence a marcher a petits pas vers ma chambre. Je respire calmement et doucement, essayes de me controler. Je sent la température qui diminue très faiblement. Ces sous-êtres ne méritent pas de voir ma puissance de toute facons.

J'entends cet être inférieur qui me propose une cigarette. Je m'arette sans me retourner, je m'adresse a lui.

-Etre abjecte. Tu ne mérite pas cette conversation. Seul les êtres uniques ne sont que peu inférieurs a moi. Comment oses tu me tutoyer!

Après lui avoir déclaré cela, je reprends ma route. J'espère qu'il ne m'adressera pas encore une fois la parole. Entendre sa voie... Je ne sais pas pourquoi, mais je suis prit de furie lorsqu'il me parle.

C'en est trop! Ils se permettent de m'affronter. Ce que je pensait etre des êtres inférieurs sont en fait des êtres mineurs. Je me relève, leur fait fasse, et leur dit:

-Maintenant je suis énervé!

Je n'ai jamais été aussi énervé. Je touche les murs de mes mains, et une trainée de feu se dirige a toute vitesse vers cette fille. Je prend le soin de faire passer cette trainée a coté du garcons. Lorsque les flammes arrivent au niveau de la fille, deux petites explosions surviennent, la faisant reculer de quelques metres.

Je répondis alors à Raiko de la même manière :

- D'accord, mais laisse moi au moins essayer.

Et, à l'adresse de monsieur flammèche :

- A nous deux, monsieur Unique !

Il veut vraiment se battre contre moi? Le mérite t-il seulement? Bien sur que non, mais ce regard qu'il me lance...
Je réfléchis quelque peu. Si je les tue ici, alors ils ne pourront plus jamais oser m'adresser la parole. Ils méritent la mort pour ce qu'ils ont dit. De quelques coups d'yeux, je regarde le couloir. La lueur que projette les flamme facille et trouble un peu ma vision. J'arrive quand meme a bien discerner que ce couloir est trop étroit pour que l'on puisse s'y battre au corps a corps. Je m'en réjouis, puisque je ne peux pas me défendre a main nue. De plus, si l'on avait été en plein air, avec très peu de matieres autour de moi, je n'aurais pas pu utiliser mon don. Il me faut de la matière a incendier, et le faire directement sur des vètements est très difficile. J'ai eu beaucoup de chance tout a l'heure. Je reprends alors mes esprits. Il faut que je me concentre!
Des personnes pouraient venir a tout moment. Cet endroit est trop frécanté pour que je les combattes. Je choisis donc de partir, et de me couvrir avec le feu.

Je retouche encore une fois le mur. Cette fois, je ne met qu'une main. Des flammes jaillissent alors entre moi et ce garcons. Elle prennent en puissance, et toute une partie du couloir est alors en feu. Je ne vois plus mes adversaires.

- Faites en sorte de ne jamais recroiser mon chemin, inférieurs.

Je me retourne alors et part en marchant. Je me presses un peu. Ces sotises ont déja prit trop de temps, et le fait d'utiliser mes pouvoirs m'a complettement épuisé.

Bien plus tard, je vérifie qu'ils ne m'ont pas suivient. On ne dirait pas. Je tourne a droite, et j'arrive devant la porte de ma chambre. J'ouvre et me diriges directement vers le lit.

*J'arrivai dans le couloir, trainant des pieds. Juste a temps pour voir un gars tenter de faire flamber le lucée. Ma foi, ca m'évitera les cours. N'ayant aucune envie de participer a son extinction, je vis une salle qui m'ouvrait grand les br...la porte. Je m'y glissai, en pensant que l'incendie, j'était déja au courant de ca. Sauf quej'arrivais dans une salle de sciences... Ok, j'aime la nature, mais c'est un peu du n'importe quoi. Tant pis, j'y suis j'yy reste.*